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2 – Une épicondylite de trop…

Question 5 : Le doute s’installe

Mise en situation : Vous occupez les fonctions de responsable syndical en SST à La chaude baguette depuis plus de trois ans et la situation de Sandra vous amène à vous questionner… Ce n’est pas la première fois qu’un préposé à l’emballage est atteint d’un trouble musculosquelettique (TMS). En fait, vous êtes presque certain qu’il y en a eu plusieurs au cours des dernières années. Vous vous dites qu’il serait peut-être temps de vérifier cette information afin de déterminer s’il existe effectivement un problème de SST à ce poste.

Utilisez ces gabarits, grilles, formulaires et autres pour effectuer votre intervention!

La méthode QEC

Formulaire Avis de conditions dangereuses

  1. De quelle façon pourriez-vous vérifier votre impression?

    a.
    b.
    c.
    d.
    e.

    Voici quelques explications utiles :

    • Toute démarche en prévention doit s’appuyer sur des faits et non sur des impressions. Le directeur risque fort d’écourter la conversation si vous n’avez rien de tangible à lui présenter.
    • Non! Cette action est prématurée. Vous devez d’abord déterminer s’il existe effectivement un problème de SST à ce poste.
    • Bien que la méthode QEC soit toute indiquée pour évaluer les tâches associées à un poste de travail et établir si le travailleur qui les effectue est exposé à des risques de troubles musculosquelettiques (TMS), cette action est prématurée. Vous devez d’abord déterminer s’il existe effectivement un problème de SST à ce poste.
    • Bonne réponse! Les ressources humaines possèdent les données dont vous avez besoin pour déterminer s’il existe effectivement un problème de SST à ce poste.
    • Éventuellement, le CPSST pourra être saisi de ce problème de SST s’il en existe effectivement un. Il ne faut toutefois pas attendre la prochaine réunion pour valider votre impression et déterminer s’il s’agit d’un véritable problème.